Et c’est parti pour le chaud ;-)

Pas vraiment raisonnable mais tellement séduisant comme cadeau de St Valentin, nous voilà en route pour les Antilles et plus précisément la Guadeloupe : idéal pour prendre un coup de chaud dans cet hiver bien morne et tourner la page l’Occitane pour le petit chéri.

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En moins de deux à Orly (merci uber ;-)), on commence à être une team bien rodée qui passe de l’enregistrement à l’embarquement sans encombre. Pour une fois, on a laissé l’hôtesse choisir pour nous nos places dans l’avion et c’était une très bonne chose. On s’est retrouvés au dernier rang sur une rangée de 4 places rien que pour nous deux. On a eu un peu de mal à y croire jusqu’au départ mais autant dire qu’on en a bien profité en essayant toutes les positions pour nos jambes pendant ces 8h40 de vol.

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A peine atterris, une belle vague de chaleur nous enveloppe direction les loueurs de voiture bien contents d’avoir récupéré toutes nos petites affaires sur le tapis à bagages. Bon, on n’était pas vraiment les seuls à avoir eu l’idée mais avec un peu de patience l’étape fut franchie sans problème. L’inspection détaillée de la voiture et ses multiples rayures et bosses (et oui, faut pas se stationner sous les cocotiers !) nous fait quand même dire que la conduite ici ne sera pas de tout repos.

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Bon l’avantage d’avoir une route principale qui fait tout le tour de l’île, c’est que même nous qui sommes des quiches sans GPS on se débrouille. A peine sortie de Pointe-À-Pitre, on traverse des paysages luxuriants où les cocotiers succèdent à la mangrove. De belles petites vaches bien plus maigrelettes que celles de la métropole paissent sur le bord de la 4 voies, juste assez pour la touche d’exotisme en décalage total avec tous les panneaux de signalisation bien franchouillards.

A peine installés dans notre hôtel de Deshaies, un petit saut dans la piscine. Assez incroyable quand on était encore en métropole il y a quelques heures.

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Fin de journée (19h00 heure locale, pas plus) version aventure quand il a fallu se préparer à dîner dans la cuisine extérieure. Bon, préparer son petit déj au milieu du jardin au petit matin, on voit le truc ; par contre faire à dîner dans le noir complètement jet lagués au milieu des moustiques et des petites bêtes, c’est pas du tout la même. Evidemment, il y avait une mygale sur le volet (terme validé par Geo pour une fois) et une grenouille qui a surgit de nulle part. Un morceau de tarte aux poireaux surgelée poêlée car pas de four à l’horizon vite avalé, au dodo, demain il fera jour.